Box Mai 1977

May 1977
je viens de recevoir comme tout le monde je pense l annonce pour ce nouveau coffret

What's Inside:
•Five Complete Shows
• 5/11/77 St. Paul Civic Center Arena, St. Paul, MN
• 5/12/77 Auditorium Theatre, Chicago, IL
• 5/13/77 Auditorium Theatre, Chicago, IL
• 5/15/77 St. Louis Arena, St. Louis MO
• 5/17/77 University Of Alabama, Tuscaloosa, AL
•14 Discs, 111 tracks
•Mastered in HDCD by Jeffrey Norman
•Artwork by Grammy Award-winning graphic artist Masaki Koike
•Period Photos by James R Anderson
•Historical Essay by Steve Silberman
•Individual show liner notes

Individually Numbered, Limited Edition of 15,000

Pour la France 139,98 + 24,99 $ de transport
Bientot je vais finir par leur donner ma carte bleue
Jean Pierre

http://www.dead.net/may1977

J en possede aucun . Dans mes notes de 2010 le 12 n était pas en sbd sur archive ( j ai ma reponse 3 ans apres c était le bonus disc du coffret winterland 77 ) , le 15 je l ai ecouter mais pas conserver.

Le reste je ne sais plus , j ai du les ecouter ....

Je ne connais aucun de ces concerts, juste le bonus disc de Winterland 77.

Tu as fait ta commande, Jean-Pierre ?

Alain a écrit:

Je ne connais aucun de ces concerts, juste le bonus disc de Winterland 77.

Tu as fait ta commande, Jean-Pierre ?

Ben oui , parce que sinon.... je regrette .

D ou l histoire d un monsieur qui va rendre visite à un psychiatre et lui dit:
" Bonjour Monsieur je viens vous voir parce que l on me dit que j aime beaucoup trop les saucisses.
- Mais voyons il n y aucun problème a aimer les saucisses d ailleurs moi aussi j aime beaucoup les saucisses.
" Vous aussi mais c est merveilleux ! vous vous voulez voir ma collection?

Jean Pierre

Coffret "May 1977" reçu à l'instant ! Il est MAGNIFIQUE ! C'est peut-être le plus beau de tous les coffrets que je connaisse. Un vrai travail de présentation. Dès que j'aurai un moment , j'en mettrai des images ici.

J'ai le n° 11514 sur 15000.

Je n'ai pas du tout suivit l'histoire de ce coffret, j'arrive un peu comme la dernière roue du carrosse.

Ce que je ne comprends pas c'est pourquoi sortir un coffret limité sur la tournée de Mai 1977 si ce n'est que pour en sortir que 5 concerts (vous allez me dire c'est déjà pas mal, oui, mais il n'y a même pas Cornell, Boston Gardens, Buffalo et d'autres concerts emblématiques de la tournée).

Je crois avoir lu quelque part (mais vous savez, je suis nul en anglais) que les bandes originales du concert d'Ithaca ne sont pas en possession de l'équipe Dead, et qu'ils ne peuvent donc en faire des cédés officiels.

On attend tes oreilles sur ce coffret Alain !

Oui, Cyril. Je vous demande juste un peu de patience.

Ça va être difficile pour moi d'écouter ces 5 concerts sans les comparer à celui d'Ithaca.

Voici quelques images du coffret. Malheureusement, les scans que j'ai faits ne rendent pas justice aux magnifiques couleurs de ce coffret.

CD du 11 05 1977 :




CD du 12 05 1977 :




CD du 13 05 1977 :




CD du 15 05 1977 :




CD du 17 05 1977 :



Chaque digipack possède 3 volets, je n'en ai scanné que 2 pour chacun.
Exemple de digipack ouvert :



Tout cela est contenu dans un superbe coffret :



On peut mettre ce coffret tête en bas, les textes et décorations sont toujours lisibles parce que réversibles.
Je n'ai pas vu tout de suite le nom du coffret sur la tranche, et pourtant il y est sous forme de monogramme.



Enfin, tout cela est accompagné d'un très beau livret de 52 pages, avec des textes de Steve Silberman et de Blair Jackson ainsi que des reproductions de coupures de presse de l'époque.

11 MAI 1977, ST-PAUL (MN), ST. PAUL CIVIC ARENA



Première écoute, premières impressions.

Le concert commence avec Promised Land. D'emblée, la clarté du son me saute aux oreilles. Keith Godchaux a l'air en forme. Sur Big River, les parties instrumentales sont plus longues qu'à l'accoutumée, et chaque musicien joue parfaitement. Et une fois de plus, je me laisse émouvoir par Looks Like Rain. Mais la suite de ce premier set me passionne moins. Je n'aime pas le travail des batteurs sur Ramble On Rose, sur lequel ils dédoublent le battement du tempo. Pour terminer le set, le Dead se lance dans un Sugaree impressionnant (comme tous ceux de cette époque).

Le second set contient lui aussi des choses excellentes et d'autres moins intéressantes. Estimated Prophet est sublime ; la jam de fin est très délicate et inspirée. Malheureusement, le Scarlet Begonias > Fire On The Mountain qui suit me laisse sur ma faim ; la jam entre les deux morceaux manque de relief, le jeu de Jerry Garcia me semble terne, sans inspiration. Puis c'est Good Lovin' ; le début est cafouilleux, mais au final le Dead en donne une très bonne version, énergique. Arrive ensuite un enchaînement inhabituel : Uncle John's Band > space > Wharf Rat > Around And Around ; sur Uncle, Jerry, une nouvelle fois, a du mal à décoller ; il se rattrape sur space, où il joue seul la plupart du temps et semble bien s'amuser.

Le concert se termine avec Brokedown Palace. Ce titre n'avait pas été joué en 1976 ; il ne sera interprété que 5 fois en 1977 puis disparaîtra jusqu'en décembre 1979.

Ce premier concert du coffret May 1977 est dans l'ensemble un concert solide et intéressant, mais avec deux ou trois points faibles (que ne possédait pas le concert donné à Ithaca trois jours auparavant — merde ! Je m'étais promis de ne pas faire la comparaison !).

Ton analyse est conforme au généralité de cette année .
Sugaree , avis que je partage et aussi pour Good Lovin'.
Le bon et moins bon dans le répertoire.

Concernant la modification de tempo c est le fort du Dead qui a su faire evoluer son repertoire en changeant le tempo de ses titres. Parfois reussi d autres non . Concernant 1979 New Minglewood Blues est abominable cette année là car joué differement.
Au contraire j adore tout autant un Jack Straw d Europe 72 lent et teinté de blues et un Jack Straw dynamique et accéléré  du 8 mai 77.

Allez on ferme la parenthèse .
Concert suivant

bonsoir à tous.j'ai moi aussi recu le fameux coffret tant attendue,passé la surprise du superbe packaging,je ne perds pas 1 minute j'me glisse le 1er concert de la box st paul 11/05/77 la premiere partie uniquement j'ai pas le temps pour plus aujourd'hui. ca demarre sur les chapeau de roue avec promised land,chouette version mais jerry est très bas dans le mix tout s'arrange au bout de quelque minutes, ensuite they love each other bien dans les standards de 77,big river épatant ,la suite jusqu'à peggy-o est tres bien joué, j'adore el paso qui est probablement ma version préféré; les stars de la soirée sont les 2 batteurs qui brisent constamment la routine de leurs partie de batterie et le set se termine sur un vibrant sugaree plus court que sur les versions des semaines à venir.   la seconde partie promets, a toute .

Merci beaucoup pour ta chronique Alain.

Sinon je suis d'accord avec Cyril, la nouvelle version de "New Minglewood Blues" de 1979 était un massacre.
Plus qu'une histoire de tempo, je pense que le Dead adaptait surtout ses chansons aux "sons" de l'album du moment, facilitant ainsi la cohésion et l'homogénéité entre nouveaux et anciens titre sur scène.

bobbys a écrit:

bonsoir à tous.j'ai moi aussi recu le fameux coffret tant attendue,passé la surprise du superbe packaging,je ne perds pas 1 minute j'me glisse le 1er concert de la box st paul 11/05/77 la premiere partie uniquement j'ai pas le temps pour plus aujourd'hui. ca demarre sur les chapeau de roue avec promised land,chouette version mais jerry est très bas dans le mix tout s'arrange au bout de quelque minutes, ensuite they love each other bien dans les standards de 77,big river épatant ,la suite jusqu'à peggy-o est tres bien joué, j'adore el paso qui est probablement ma version préféré; les stars de la soirée sont les 2 batteurs qui brisent constamment la routine de leurs partie de batterie et le set se termine sur un vibrant sugaree plus court que sur les versions des semaines à venir.   la seconde partie promets, a toute .

Merci Bobbys ,merci Alain
J ai ouvert la boite 77 mais pas encore écouté une "single" note. En ce moment je retrouve tous les cds de Pentangle. je suis juste a contre temps quoi!
jp

12 MAI 1977, CHICAGO (IL), AUDITORIUM THEATRE



Le digipack précise que le son de ce concert pâtit à plusieurs reprises de distorsion. Quoi qu'il en soit, force est de constater que les concerts de cette tournée sont très bien joués. Pour autant, ils n'ont pas tous l'inventivité et la maestria de celui d'Ithaca. On aurait aimé, effectivement, un peu plus de folie.

Plusieurs titres ont néanmoins attiré mon attention : Tennessee Jed, Jack Straw, Estimated Prophet, Comes A Time. Dès le début du concert, Jerry Garcia paraît en forme vocalement ; malheureusement, sa voix n'est pas toujours très bien enregistrée.

Le deuxième set commence comme celui de la veille : les trois premiers titres sont les mêmes (Samson and Delilah, Brown-Eyed Women, Estimated Prophet). Estimated est parfaitement joué, comme, semble-t-il, toutes les versions données durant cette tournée. Une surprise, lors de cette soirée : Comes A Time, qui n'a été joué que cinq fois cette année-là avant de disparaître du répertoire pendant toute une année ; une version très émouvante, chantée parfaitement par Jerry Garcia et Donna Godchaux et jouée tout à fait délicatement.

Certains des morceaux joués ce soir-là ont été publiés en 2009 dans le coffret Winterland 1977.

13 MAI 1977, CHICAGO (IL), AUDITORIUM THEATRE



Deuxième concert à l'Auditorium Theatre de Chicago. C'est The Music Never Stopped qui ouvre la soirée, ce qui n'est pas très courant. Dès le début, le public semble plutôt excité.

Sur Ramble On Rose, le tempo est marqué de manière plus traditionnelle que celui de l'avant-veille. Quelques titres plus tard, c'est au tour de Friend Of The Devil. Version très émouvante, mais il est dommage que le piano de Keith Godchaux soit mixé autant en retrait, même si son jeu n'a rien de transcendant. Première surprise de la soirée : Jack-A-Roe fait son apparition dans le répertoire du groupe. C'est Jerry Garcia qui est au chant. Cette chanson anglaise traditionnelle avait été interpétée notamment par Joan Baez, au début des années 60. Dans Looks Like Rain, le chant de Donna Godchaux est parfait, bien complémentaire de celui de Bob Weir. Le premier set se termine avec Scarlet Begonias > Fire On The Mountain. Et cette version nous apporte la deuxième surprise du concert. La jam qui suit les dernières paroles de Scarlet est très courte ; au bout d'une minute environ, Jerry arrête son chorus et, très peu de temps après, Phil Lesh introduit Fire. Heureusement, Fire commence par une longue partie instrumentale où Jerry fait des merveilles. Au final, cette version de Scarlet > Fire, même si elle est déroutante, est un bon moment.

Le second set commence avec Samson And Delilah, comme lors des deux précédents concerts. La version donnée ce soir-là est plutôt rentre-dedans, et les deux batteurs y font un remarquable travail. La longue suite de la soirée débute par un planant et excellent (comme toujours à cette époque) Estimated Prophet. Suivent les drums. Au bout d'une minute seulement, Mickey Hart et Bill Kreutzmann se rapprochent du rythme de The Other One. Après cinq minutes, le groupe entier rentre dans ce morceau-phare, sans l'habituelle intro de Phil. Et c'est parti pour une longue jam. Après près de treize minutes d'improvisations aux atmosphères contrastées, la reprise du thème central est puissante comme jamais. Seul le premier couplet sera chanté. À mon goût, il s'agit d'un des meilleurs The Other One de cette époque. Jerry enchaîne ensuite sur un Stella Blue au rythme lent, qu'il chante de manière émouvante. Le final du morceau, long, est de toute beauté. Le concert se termine de manière bien rock, avec notamment un Goin' Down The Road Feeling Bad jubilatoire.

Un vraiment bon concert.

toujours plaisant a lire

15 MAI 1977, ST-LOUIS (Mo), ST-LOUIS ARENA



Dans l'ensemble, encore un bon concert.

Dans le premier set, après un New Minglewood Blues très bien joué, Tennessee Jed est abordé sur un tempo vraiment trop lent, ce qui fait retomber l'ambiance malgré un très bon chorus de Jerry Garcia. Heureusement, suit une interprétation intéressante de Lazy lightning > Supplication, dont la jam est longue et aérienne. C'est suivi par le deuxième Jack-A-Roe de la carrière du Dead, avec une intro très longue. Arrive ensuite Passenger, titre joué pour la première fois ce soir ; on y entend Jerry à la pedal-steel guitar.

En ce début de concert, la voix de Jerry est parfois en retrait, on ne l'entend pas bien. Je ne sais pas si ça provient de l'enregistrement, ou si c'est Jerry qui n'était pas en forme vocalement.

Le premier set se termine avec un Dancing In The streets gigantesque ! Il dure plus de dix-huit minutes. Les jams se lancent les unes après les autres, équilibrées, bien construites, inspirées. Tous les musiciens sont parfaitement à l'unisson, notamment lors des virages et des ruptures de la jam. L'interprétation de ce soir me ferait presque oublier celle du 8 mai à Ithaca !

Le deuxième set commence par la suite Estimated Prophet > Eyes Of The World > drums > Samson And Delilah. C'est la deuxième fois que Estimated et Eyes sont liés l'un à l'autre, ce qui sera courant par la suite. Estimated est très long, la jam n'en finit pas. Jusqu'à ce que Jerry se décide à lancer Eyes, sur un tempo plutôt rapide. Là encore, l'intro est étirée et Jerry ne commence à chanter que trois minutes après le début du morceau ; à la fin de Eyes, il y a une minute de folie où les musiciens d'en donnent à cœur joie.

Plus tard, après St Stephen, on s'attend à ce que le groupe entre dans Not Fade Away, mais c'est sa première version de Iko Iko que le Dead nous offre, qui sera elle-même suivie de Not Fade Away. Le Sugar Magnolia qui clôt la suite est puissant et terrible.

17 MAI 1977, TUSCALOOSA (AL), MEMORIAL COLISEUM



Le dernier concert du coffret est aussi excellent que les précédents.

Dès le deuxième titre du concert, on a droit à une jam bien sentie : cette version de Mississippi Half-Step Uptown Toodeloo est longue ; elle sera enchaînée à El Paso. Un peu plus tard, le Jack-A-Roe joué ce soir-là sera une première fois éditée en 1998 dans The Phil Zone. Titre rare, High Time, chanté avec émotion par Jerry Garcia et Donna Godchaux, est interprété pour la première fois depuis septembre 1976 (ce morceau sera joué trois fois en mai 1977 puis disparaîtra du répertoire jusqu'à la fin de 1979). Le premier set se termine avec Scarlet Begonias > Fire On The Mountain ; cette fois-ci, il y a bien une jam entre les deux titres ; c'est solide, bien joué et long (27 minutes).

Le set suivant commence par Samson And Delilah (comme souvent lors de cette tournée), fondu dans Bertha, lui-même enchaîné à Good Lovin'. Après cette entrée rock, le Dead change son fusil d'épaule avec Brown-Eyed Women. On remarquera qu'on retrouve souvent à cette époque Samson et Brown-Eyed en début de deuxième set.

Puis la musique se fait plus subtile, et c'est au tour de Estimated Prophet. Ce titre et Samson sont les deux chansons que l'on retrouve à tous les concerts du coffret. Toutes les versions de Estimated de ce printemps 1977 sont, selon moi, des chefs-d'œuvre de subtilité et de justesse ; le 14-temps du morceau est un parfait véhicule pour voyager loin, très loin dans le Cosmos. Ce titre de Bob Weir est une des choses les plus jazzy de toute l'histoire du Dead.

Ensuite, nouveau virage, nouveau changement de perspective : on continue loin du rock'n'roll, avec Terrapin Station, lequel ouvre solidement la grande suite du second set. Dans le Playing In The Band qui suit, la jam, sereine au départ, construit doucement une dramaturgie plutôt inhabituelle et mystérieuse. Puis, vient le tour des traditionnels drums. À un moment, Jerry se greffe sur le solo de batteries pour lancer l'introduction de Wharf Rat alors que, visiblement, les batteurs n'en ont pas fini avec leur partie ; durant un moment, Bill Kreutzmann et Mickey Hart continuent leur exploration avant qu'eux et les autres musiciens finissent par rejoindre Jerry. La longue suite se termine par une reprise de Playing, sur laquelle les guitaristes lancent mille feux. Le rappel est bien rock'n'roll, avec Sugar Magnolia, où la section rythmique fait un remarquable travail.

Quand j'ai reçu le coffret May 1977, j'ai été frappé par la beauté de l'objet. Une fois ces cinq concerts écoutés, je ne peux que reconnaître que l'intérieur est aussi beau que l'extérieur. On a à faire là à une musique majestueuse, extraite d'une période qui fut l'un des sommets dans la longue carrière du Grateful Dead. Chapeau !

Alain a écrit:

17 MAI 1977, TUSCALOOSA (AL), MEMORIAL COLISEUM

Scarlet Begonias > Fire On The Mountain[/i] ; cette fois-ci, il y a bien une jam entre les deux titres ; c'est solide, bien joué et long (27 minutes).

C'est un des "Scarlet Fire" les plus rapides que j'ai pu étendre (et pourtant il fait quasiment 30 minutes, comme tu l'as bien mentionné). Pour Scarlet Begonias, on dirait presque une bossa cubaine sur ce concert, surtout la partie de transition avant Fire On The Mountain. Je précise que je possédais déjà ce concert en soundboard, je n'ai pas la version et qualité du coffret.
D'un côté, j'ai toujours trouvé que les Scarlet/Fire étaient un peu les Dark Star de la tournée 1977. C'est en général un des grands moments bravoures de cette tournée (le plus que fameux de Cornell, par exemple).

Scarlet Bégonias suivi de Fire on the Moutain a été une sacré trouvaille quand meme, Scarlet est joué seule , a partir de 74 et en 76 , la jonction se fait justement a partir de 77 , c'est donc sur ce primtemps que le groupe va explorer cette combinaison . J ai de bonnes versions aussi en 78 et 79 .

Je vous invite à ecouter le concert du 28 juin 76. Fire on the moutain est pas dans la setlist , on a soit drums ou Happiness is drumming comme titre , et vous entendrez les débuts de Fire on the moutain collé derrière Eyes of the wolrd